Sammeltipps

Zusammen sammeln macht Spass und ist effizienter. Deshalb gibt es eine Koordinationsseite.
Version française en bas.

20 Unterschriften pro Stunde? Kein Problem!

Dazu einige Sammel-Tipps

  • Viele Bürger sind dank den Medien bereits sensibilisiert.
  • Plant ein kurzes „Sammel-Training“, beobachtet euch gegenseitig einige Male und gebt Feedback
  • Kurz und knapp halten. Längere Diskussionen sind nett aber wenig zielführend. Alle haben ja noch Anderes zu tun.
  • Am produktivsten sammelt man an Orten wo man niemanden kennt, sonst gibt’s zuviel Schwatz- und Kafipausen. 😉

Einstieg

  • Hallo, ich sammle gegen das BÜPF, das neue Überwachungsgesetz.
  • Hallo, haben Sie das BÜPF-Referendum bereits unterzeichnet?

1.Versuch: Wo wohnst du / bist du stimmberechtigt?

  • (jüngere) Damit werden alle Telefon und E-Mail-Randdaten gesammelt! Die Behörden können dann mindestens 6 Monate lang problemlos herausfinden wer wann wo mit wem kommuniziert hat, sogar dass wir heute zusammen hier waren…
  • (ältere) Das ist sozusagen die moderne Fichierung, aber anstatt auf Papier wie in der DDR und bei den Schweizer Fichenaffären wird jetzt alles elektronisch und in viel grösserem Umfang überwacht.

2.Versuch: Du möchtest ja auch nicht in einem Überwachungsstaat leben? In welcher Gemeinde …

Eventuelle Einschübe:

  • Wir wollen mit dem Referendum zumindest die breite Diskussion anstossen, wieviel Überwachung unserer Schweiz gut tut.
  • Es machen praktisch alle Jungparteien von links bis rechts mit, und unzählige zivile Organisationen.
  • Es beinhaltet Bundestrojaner, die Vorratsdatenspeicherung, IMSI Catcher und weitere rechtstaatlich bedenkliche Überwachungsmethoden.

Und dann wäre es gut, weitere Nachteile des Gesetzes zu kennen, z.B.

Einwände und Antworten

  • „Keine Zeit, ich muss mich erst informieren.“
    • Unterschriftenbogen mitgeben, oder anbieten: Ich bin ja da um dich zu informieren, wo gibt es Fragen?
  • „Ich bin da noch unsicher.“
    • Mit der Unterschrift wird nur das Referendum ermöglicht, für die Abstimmung an der Urne wird die breite Diskussion ausreichend Antworten liefern.
  • „Aber Überwachen muss man ja, und ich habe ja nichts zu verbergen / befürchten.“
    • Beispielsweise bei der VDS werden alle unsere Kommunikationsdaten auf Reserve gespeichert, und wo sensible Daten gesammelt werden, gibt es immer Missbrauch und Lecks.
    • Bekanntlich kann nicht mal der staatliche Schweizer Hi-Tech-Konzern RUAG die Daten richtig schützen. Wieso sollten wir jetzt Fernmeldeanbietern und Staatsanwälten noch umfassender vertrauen?
    • Und wenn ich jetzt verspreche keinen Unfug zu betreiben gibst mir ja auch nicht deine Kreditkarte mit PIN-Code.
  • „Mit meinen Daten ist eh nichts anzufangen.“
    • Wenn du den gleichen Pizzakurier anrufst wie ein Zuhälter, landest du automatisch im Überwachnungsprofil der Behörden. Ebenso, wenn dein Zug in den Bahnhof Bern einfährt, während die Polizei einen IMSI-Catcher bei der Reitschule einsetzt. Eine Abgrenzung ist unmöglich, die Folgen unabsehbar.
  • „Es betrifft ja nur Schwerstkriminelle.“
    • Der Deliktskatalog (siehe Grundrechte oder DigiGes) beinhaltet hunderte, auch kleinere Delikte. Ausserdem konnte ja beispielsweise der Zürcher Staatstrojaner #fail bei Bedarf sogar Kinderpornografie hochladen, da kann jeder harmlose Überwachte während der Untersuchung spontan zu einem Schwerstkriminellen werden der dann bei Bedarf alles Mögliche gestehen wird. Wir können nur hoffen, dass es nie soweit kommen wird, kontrollieren kann man dies später nicht mehr.
  • „Ich habe schon unterschrieben.“
    • Wir sammeln erst seit Ende März. Ev. hast du das Referendum gegen das Nachrichtendienstgesetz (NDG) unterzeichnet. Das BÜPF ist was anderes.
  • „Der Staat überwacht uns sowieso, da ändert auch ein Referendum nichts.“
    • Bereits wurden viele Überwachungsmassnahmen von Behörden unerlaubt eingesetzt. Wir können jetzt aber verhindern, dass diese Totalüberwachung nachträglich legalisiert wird. Ausserdem gibt es bereits viele zivirechtliche Vorstösse gegen VDS, Trojaner, IMSI Catcher u.a.

version française

20 signatures par heure ? Pas de souci !

Pour cela, quelques points-clefs :

  • Beaucoup de citoyens sont déjà sensibilisés par les médias.
  • Organisez des petits exercices de récoltes, observez-vous réciproquement et donnez le feedback à vos collègues.
  • Ca marche quand c’est court et percutant. Les grandes discussions, c’est sympa, mais peu efficace pour atteindre l’objectif. Tout le monde a aussi autre chose à faire …
  • On récolte le plus dans des lieux où on ne connaît personne : sinon il y a trop de distraction et de pauses café…

Entrée en matière :

  • “Bonjour, je récolte des signatures contre la LSCPT, la nouvelle loi de surveillance des correspondances”.
  • “Bonjour, avez-vous déjà signé le référendum contre la loi sur la surveillance ?”

Premier essai : Où habitez-vous ? Avez-vous le droit de vote ?

  • (Avec les plus jeunes) Avec cette loi toutes les données secondaires des téléphones et mails seront récoltées ! Les autorités pourront pendant au minimum 6 mois sans problème retrouver qui a communiqué où et avec qui, par exemple … que nous avons parlé aujourd’hui ici même !
  • (Avec les plus âgés) C’est en quelque sorte le fichage moderne : au lieu que ce soit sur des fiches papier comme à l’époque de l’Allemagne de l’Est ou de l’affaire des fiches, c’est de manière électronique que tout et tous seront surveillés, et à une échelle bien plus vaste.

Deuxième essai : Vous en voudriez pas vivre sous un Etat fouineur n’est-ce pas ? Dans quelle commune….

Arguments- types à insérer éventuellement dans la conversation :

  • Avec le référendum, nous voulons au moins rendre possible une large discussion citoyenne, pour savoir à quel point la surveillance de masse ferait du bien à la Suisse.
  • Ce référendum est soutenu par les sections jeunes de quasiment tous les partis, de la droite à la gauche, et un nombre important d’organisations de la société civile.
  • Cela concerne l’utilisation chevaux de Troie fédéraux, le stockage des données secondaires, les IMSI-catchers et toutes sortes d’autres méthodes de surveillance étatique possibles et imaginables

Et ensuite, ce serait bien aussi de connaître les autres désavantages de la loi , par ex. le catalogue des délits concernés :

Objections et réponses

  • „Je n’ai pas le temps, je dois d’abord m’informer“
    • Donner le carton de signature, ou proposer : „je suis justement là pour vous informer, sur quel point avez-vous des questions ?“
  • „Je ne me suis pas encore fait un avis“
    • Votre signature concerne seulement le référendum, la tenue d’un scrutin populaire permettra justement d’avoir des discussions sur le fond et d’apporter des réponses complètes.
  • „Mais la surveillance est nécessaire, et moi personnellement je n’ai rien à cacher / rien à craindre“
    • Prenons un exemple : l’enregistrement des données secondaires permet de stocker les informations concernant nos communications, or , ce sont des données sensibles, et il y a toujours un risque de mauvais usage ou de faille. On sait maintenant que même l’entreprise étatique suisse de hi-tech RUAG a été incapable de protéger nos données correctement !
    • Pourquoi devrions-nous soudain accorder une confiance illimitée aux opérateurs de télécommunications ou aux procureurs ?
    • Et si maintenant, je vous promets de ne pas faire de jouer un sale tour, vous me laissez votre carte de crédit avec son code pin ?
  • „De toute façon, il n’y a pas matière à enquêter sur mes données.
    • Ah bon ? Savez-vous que si jamais votre livreur de pizza est le même que celui qu’appelle un suspect, vous serez automatiquement considéré comme un profil à surveiller par les autorités ? De même, si vous êtes dans le train qui arrive à Berne au moment où la police lance un IMSI-catcher à la Reitschule…. Poser des restrictions sera impossible, et les conséquences imprévisibles.
  • „Cela ne concerne que les criminels“
    • Le catalogue des délits concernés (regarder https://droitsfondamentaux.ch ou https://www.digitale-gesellschaft.ch/) comprend des centaines de délits y compris mineurs. En plus de cela , un cheval de Troie étatique tel que celui utilisé à Zürich par exemple, pourrait au besoin même télécharger des images pédo-pornographiques, en conséquence chaque innocent pourrait être surveillé pendant l’enquête et considéré potentiellement comme ayant commis un des crimes les plus graves. Une fois la loi adoptée, il sera trop tard pour s’assurer que cela ne puisse jamais se produire…
  • „J’ai déjà signé.“
    • Nous récoltons seulement depuis fin mars. Peut-être avez-vous précédemment signé le référendum contre la loi sur le renseignement (LRens) ? La loi sur la surveillance des correspondances est encore autre chose.
  • „L’Etat nous surveille de toute façon, aucun référendum ne changera cela.“
    • Justement, nous avons l’occasion d’empêcher que cette surveillance totale ne soit demain légalisée. En plus de ça, de nombreux droits civils sont atteints par l’utilisation d’outils comme les chevaux de Troie, les IMSI-catchers ou par le stockage de nos données secondaires.
Online Unterschriftensammlung auf WeCollect: BÜPF Referendum, Référendum LSCPT
Neutrale Unterschriftenbogen
Neutraler 10er-Sammelbogen (De)
Formulaire à 10 lignes (Fr)
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Der Film zur Überwachung
Der Film zur Überwachung - StopBÜPF

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Spenden sind sehr willkommmen und können auf folgendes Konto einbezahlt werden:

Stop BÜPF, Zürich
Postkonto: 61-892851-4
IBAN: CH71 0900 0000 6189 2851 4

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